Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne se réuniront vendredi à Bruxelles pour aborder des questions institutionnelles, mais aussi budgétaires dans la perspective du Brexit, la sortie du Royaume-Uni de l'UE en mars 2019.
Cette rencontre informelle à 27, sans la Première ministre britannique Theresa May, doit notamment permettre d'aborder la méthode qui conduira à la désignation d'un successeur au Luxembourgeois Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission en 2019.
A l'issue des élections européennes de 2014, ce dernier avait été nommé président de l'exécutif européen via le système dit du "Spitzenkandidat". En vertu de celui-ci, les partis de l'UE désignent des "têtes de liste" aux élections, qui sont ensuite susceptibles de prendre les commandes de la Commission.
Bien que le système du "Spitzenkandidat" soit largement soutenu par l'exécutif de M. Juncker et l'hémicycle, il n'en est pas de même au sein du Conseil européen, qui rassemble les chefs d'Etat et de gouvernement. Certains d'entre eux craignent en effet que cette méthode les mettent en marge dans le processus décisionnel, au profit d'accords conclus en coulisses par les partis politiques européens.
[rtbf.be/Belga]
22/2/18
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***Voilà l'homme tout entier, s'en prenant à sa chaussure alors que c'est son pied le coupable. Ca devient inquiétant. Un des larrons fut sauvé. C'est un pourcentage honnête.
Cette rencontre informelle à 27, sans la Première ministre britannique Theresa May, doit notamment permettre d'aborder la méthode qui conduira à la désignation d'un successeur au Luxembourgeois Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission en 2019.
A l'issue des élections européennes de 2014, ce dernier avait été nommé président de l'exécutif européen via le système dit du "Spitzenkandidat". En vertu de celui-ci, les partis de l'UE désignent des "têtes de liste" aux élections, qui sont ensuite susceptibles de prendre les commandes de la Commission.
Bien que le système du "Spitzenkandidat" soit largement soutenu par l'exécutif de M. Juncker et l'hémicycle, il n'en est pas de même au sein du Conseil européen, qui rassemble les chefs d'Etat et de gouvernement. Certains d'entre eux craignent en effet que cette méthode les mettent en marge dans le processus décisionnel, au profit d'accords conclus en coulisses par les partis politiques européens.
[rtbf.be/Belga]
22/2/18
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***Voilà l'homme tout entier, s'en prenant à sa chaussure alors que c'est son pied le coupable. Ca devient inquiétant. Un des larrons fut sauvé. C'est un pourcentage honnête.
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