Le visage couvert d’un voile, une habitante d’Alep-Est raconte à Sputnik la descente aux enfers qu’elle et de nombreuses autres femmes ont connue alors que la ville était aux mains des terroristes.
« De quoi suis-je coupable ? » C'est par cette question que la jeune habitante d'Alep-Est commence son histoire terrifiante. Elle est parvenue à quitter la ville pendant l'évacuation, mais les terribles souvenirs la hantent toujours : les femmes ont beaucoup souffert lorsqu'Alep-Est était sous contrôle des terroristes. Il ne s'agit pas seulement de la famine que tous les habitants ont subie. Meurtres, viols, mariages forcés : les femmes d'Alep en ont vu de toutes les couleurs. Et si une d'entre elles s'insurgeait, elle a été lapidée.
« Si une femme voulait épouser un homme qui n'appartenait pas à l'organisation terroriste, on la battait, la jetait dans une fosse ou en prison. On pouvait la lapider ou décapiter », raconte l'interlocutrice de Sputnik.
Pendant les années de siège, les terroristes faisaient la loi dans la ville. Sans forme de procès, ils exécutaient ceux qu'ils soupçonnaient de crimes. On montait le criminel présumé aux étages supérieurs d'un bâtiment et on le jetait depuis le toit. « S'il survivait, on le jetait encore, jusqu' à ce mort s'ensuive », poursuit la femme..............http://sptnkne.ws/dbT3
[fr.sputniknews.com]
21/12/16
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« Si une femme voulait épouser un homme qui n'appartenait pas à l'organisation terroriste, on la battait, la jetait dans une fosse ou en prison. On pouvait la lapider ou décapiter », raconte l'interlocutrice de Sputnik.
Pendant les années de siège, les terroristes faisaient la loi dans la ville. Sans forme de procès, ils exécutaient ceux qu'ils soupçonnaient de crimes. On montait le criminel présumé aux étages supérieurs d'un bâtiment et on le jetait depuis le toit. « S'il survivait, on le jetait encore, jusqu' à ce mort s'ensuive », poursuit la femme..............http://sptnkne.ws/dbT3
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